Ma Thessalonique, première Mère des pauvres,
toi qui a les meilleurs gars ;
ma Thessalonique, première Mère des pauvres,
partout où je vais, je t’ai toujours dans mon cœur.

Ma Thessalonique, jamais je ne te renierai;
tu es ma patrie, je le dis et je m’en vante.

Thessalonique aux tant d’humeurs,
tu as les plus belles filles du monde ;
soirées bohèmes, chansons dans les ruelles,
fêtes et nuits blanches, dans chaque quartier.

Ma Thessalonique, jamais je ne te renierai ;
tu es ma patrie, je le dis et je m’en vante.

Ma Thessalonique, même quand je suis loin de toi,
je me souviens toujours de ton doux nom ;
ah, comme je voudrais revenir près de toi,
et que je laisse mon âme devant la Tour blanche.

Ma Thessalonique, jamais je ne te renierai ;
tu es ma patrie, je le dis et je m’en vante.

Christos Kolokotronis